Soyons sérieux, combien d’entre
nous ne sont pas libidineux ou simplement à réactions animales : filles=sexe.
Bon je sais, j’exclus par cette équation les homos, et tous les vrais tordus
qui se sont crées d’autres égalités (genre petits garçons, fillettes, femme à
assassiner…), mais je ne peux pas vous parler de gens que je ne comprends pas.
Et je ne fais aucun amalgame entre les homos, et les autres, que les choses
soient claires, je suis juste incapable de comprendre comment un homme peut
aimer un autre homme. Je fréquente pourtant des homos, des bi, mais je ne les
comprends pas. J’ai déjà eu des propositions, d’une insistance que je ne me
suis jamais permise avec les filles, genre le pote bourré qui essaie de me
coincer dans un coin de sa cuisine, croyant que mon amitié pour lui pourrait
être plus. Je vais te faire aimer les hommes mon petit ! Après l’avoir
repoussé deux fois, j’ai dû lui promettre mon point dans sa gueule, s’il
insistait. Je ne m’en suis pas offusqué, j’étais presque désolé même, mais non
y’avait pas moyen. C’est toujours un bon pote, lui je crois que ça le frustre
un peu. Enfin bref.
Donc notre propension primitive à
renifler les filles, les jeunes, qui semblent en bonne santé, qui sont
attirantes (phéromones ?), qui rentrent dans le jeu, parce qu’on veut de
la promiscuité, et des descendants, est toujours à la source de nos rencontres.
On n’a beau avoir inventé la capote, ne plus forcément vouloir se reproduire
(plus les gens vivent longtemps, moins ils font d’enfants), on reste addict aux
gestes reproductifs.
Et dans la vie de tous les jours
nous croisons des femmes, la plupart du temps ça se passe indifféremment, mais
des fois, elles sont trop jeunes pour qu’on ait « moralement » le
droit de les désirer du plus profond de notre cervelet. Ça m’est arrivé
régulièrement, mais là c’est le cas parfait.
Je cherche un bien immobilier… Je
ne savais pas que c’était à vendre, je ne savais pas que c’était aussi grand,
aussi plaisant. Les parents sont absents, une jeune fille m’ouvre, genre 14-15
ans, à peine plus habillée qu'une figurante d'un clip d’Eric Prydz (Call on me), maquillée.
Avant même que j’aie le temps de dire bonjour, je sens l’inconscient animal se
réveiller, se signaler à mon être conscient. Je reprends mes esprits dans le 10eme
de seconde qui suit. Je parle de ce qui m’amène, elle me renseigne, elle est
très souriante, très intimidée par moment, pas trop au courant de la vente, un
peu ailleurs. Quand nous parlons, je suis tout à fait dans mon rôle, je la
regarde sans excès, sans envie. Mais lors de la visite, des petits bouts d’elle
me donnent des envies, ses petits seins tendus vers le ciel, malgré un
soutien-gorge et un t-shirt, son cul
déjà tout rond dans son leggins extra-fin, le bas de sa nuque, un peu musclé,
tonique.
Si j’étais un homo erectus, avec
une vie courte, violente, froide, il serait normal que ce genre d’envies se
réveille : une jeune femelle sans défense, passive, je l’enlève à son
clan, elle intègre le mien, et en devient une reproductrice saine, elle me tient
chaud la nuit.
Mais là zut, quand même ! Je
surfe sur internet, mais mes organes reproductifs, mon ADN, mes désirs
primaires, et tout ce que je ne sais pas, continuent de me donner des élans
pour les trop jeunes filles.
Le désir est pesant par moment,
pas à cause de ce je ressens, mais de ce que les autres ressentent, ou la
société. En l’occurrence, je n’ai le
droit ni d’avoir du désir pour une adolescente de manière courtoise, ni le
droit de lui dire, ne parlons même pas du reste. Et puis si tiens : un mec
que je connais bien me raconte comment il aimait les jeunes cochonnes quand il
avait 17-25 ans, sans détails, mais avec
des mots limpides. Il ne faudrait pas qu’un vieux tourne autour de sa fille de 14 ans maintenant. Voilà ou en est, quand un petit connard de 17 ans enchaîne dans son
pieu, ou dans des endroits plus sordides, les minettes de 15 ans, tous les
parents trouvent ça normal. Mais si un mec trop vieux prétend s’amouracher, ou
plus, d’une fille trop jeune, il est forcément un monstre, un prédateur. Je
trouve que tout le monde y perd. Si j’avais vécu en ville, je me serais payé
une pute à 15 ans, une régulière de 20-25 ans, pour apprendre plein de trucs.
Et je n’aurais pas été abusé, elle n’aurait pas vidé mon compte en banque, ne
m’aurait pas rendu dépressif, parce que j’étais déjà responsable de mes actes.
Et je le revendiquais. Manque de bol, je suis en né à la campagne, et j’ai
découvert avec trop d’à-coups irréguliers les filles de mon âge, plus gauches.J
Je suis parti donc très sagement,
sans m’en inquiéter, avec juste des petits frissons dans l'échine, parce que je sais reconnaître d’où viennent mes envies.
Mais ça m’a fait repenser à un
rêve que j’ai fait il y a peu. Un mariage, pleins de gens que je ne connais
pas, un lieu que je ne connais pas. Deux jeunes filles de 13-14 ans qui minaudent,
comme le font un certain nombre d’entre elles, sans le savoir, pour s’exercer
dans leur rapport aux autres et aux hommes plus vieux, qui par définition ne
peuvent pas être leur amant pour de vrai. Sauf qu’à la fin de la journée, quand
les lumières s’éteignent et que tout le monde va se coucher, elles rappliquent
vers moi, dans une grande salle aux recoins nombreux, ou plein de formes se
rajustent pour la nuit. Elles se glissent dans ma couche improvisée, une de
chaque côté. Je commence à me dire que quelque chose cloche, parce que dans la
vraie vie je ne me mets pas dans ce genre de situation, mais je ne suis pas conscient de
mon rêve, et il me semble que finalement rien n’est grave.
Celle de droite, la plus jolie et
tactile, se redresse dans l’obscurité, et se met à se trémousser sur ses
genoux, en culotte et mini t-shirt, elle rapproche son bassin de ma bouche,
frotte sa culotte sur mon nez. Je lui demande si elle se rend compte de ce
qu’elle fait, elle me répond que ce n’est pas parce qu’elle a 14 ans qu’elle
n’a pas envie de cul. Tu ne sais pas ce que c’est. Non, mais je veux apprendre,
parce que mon ventre me brûle des fois. Et tu as déjà réfléchi à ce qu’il
pourrait t’arriver, vu que tu ne connais rien. C’est pour ça que je suis là,
t’as l’air gentil. Lèche-moi doucement, je veux savoir ce que ça fait. Elle se
met à quatre pattes, son cul a portée, et bouge doucement. Toujours pas
d’alerte consciente, personne ne bouge même autour de nous, et j’ai envie de la
lécher. Je l’attrape, écarte le tissu, la lèche un peu. Voilà, tu sais ce que
ça fait. Non encore. Non, tu sais ce que je risque si on se fait prendre, si
vous en parlez, j’en ai déjà trop fait. Et pourquoi on irait se plaindre ?
Tu nous fais pas confiance…long dialogue sur le bien, le mal, les hommes, les
femmes, l’amour, le sexe… la nuit blanchit au loin. Elles se taisent enfin.
Celle de gauche : embrasse-moi ! Non ! Je n’ai rien eu moi,
c’est dégueulasse. Et hop, j’ai une langue dans ma bouche, avec au bout une
gorge ricanante et un regard joyeux. Je la caresse, une main dans sa culotte,
sa copine me caresse le dos. Bon ça suffit maintenant, vous ferez tout ça avec
des mecs assez jeunes pour vous. On n’aime pas les jeunes. Stop quand
même ! Elles se collent à moi au petit jour ; elles se planquent sous la
couette quand nos codormeurs se réveillent. Elles se rhabillent quand ils vont déjeuner,
m’embrassent , rient comme idiotes en partant. A tout à l’heure Adam.
Je me réveille ; putain de
merde de rêve à la con ! J’y ai vraiment cru, c’était trop bon de pouvoir
faire ça sans rien risquer, pourtant j’ai été presque sage. Et dans la vraie
vie, je lécherais une fille de 14 ans ? Euh, non, pourtant je l’ai déjà
fait, mais je n’avais que 25 à l’époque. Aujourd’hui je ne pourrais plus, pas
par moralisme, mais d’abord parce que ma femme ne me le pardonnerai pas (c’est
déjà une bonne raison J), et puis parce que la sexualité m’interroge trop en
ce moment.
Adam.
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